Dimrost se trouvait à son bureau, il avait fui son appartement depuis deux jours et étaient encore incapable de rentrer. Il avait peur, il avait honte et il avait mal. Il passa un doigt sur son annulaire ou sa bague était absente. Son foutu petit anneau, celui qu'il avait enlevé de lui même. Il le regrettait tellement, ce symbole de leur amour. Il passa une main sur ses yeux, que pouvait-il faire? Il donna un coup de pied contre son bureau lorsqu'on toqua à la porte. Dimrost lâcha un ordre et l'un de ses homme entra mal à l'aise. Il tendit une lettre, le courrier non officiel ou de personnes inconnues passaient toujours par un intermédiaire avant. Le chef de la mafia hybride l'attrapa et fit signe à l'homme de partir et celui ci ne se fit pas prier. Il commença à la lire quelques heures plus tard, des cernes sous les yeux. AU début il crut que c'était une blague, une tentative d'avoir son argent... Cependant au nom de Laurelin il se figea. Dimrost avait toujours été gay, mais au cours de sa vie il avait eu le temps de goûter les femmes dont LAurelin. Elle avait été un cas spécial, il était ami avec elle et avait eu une courte relation, plus par nécessité que par amour. Ils s'étaient quittés, lorsqu'il avait compris qu'il ne l'aimerait jamais comme il le fallait. Elle avait été sa dernière relation sérieuse (et unique avec une femme) avant Ethan. Ainsi il avait eu un fils? Il se demanda pourquoi ellele lui avait caché. Car il lui avait brisé le coeur? Il l'avait prévenu dès le premier jour qu'il n'arriverait pas à l'aimer, mais elle avait insisté. Et surtout il voulait savoir pourquoi il apparaissait maintenant et sous la volonté de sa mère. Il attrapa son stylo plume et commença avec une écriture élégante et fine:
[i]
Feardorcha,
Le nom de Laurelin m'ait familier, je veux bien vous rencontrer à mon bureau le plus tôt possible, demain serait le mieux. Vus n'aurez qu'à vous signaler auprès de mes hommes, ils vont laisseront entrer. J'espère que vos preuves sont sûrs.
Dimrost A. Tuor.[/b]
Il avait été froid mais l'autre était un inconnu pour l'instant. Il fit envoyer la lettre et se leva. Il devait se préparer pour demain. Cette nouvelle lui fit oublier ses soucis pendant quelques instants. Un autre enfant, rien qu'à lui. Cettepensée le rendait heureux.